Flamme Olympique - Pourquoi le Département du Nord a choisi Avesnes-sur-Helpe ?

Publié : 26 juin 2023 à 12h41 par La rédaction

7 communes du Département du Nord ont été sélectionnées (sur les 648) pour accueillir la Flamme Olympique pour un court trajet (1 heure) mais pour exposition médiatique maximale, et qui s’annonce exceptionnelle.


Pour Avesnes-sur-Helpe, il s’agira de la plus petite commune du Département du Nord à accueillir l’événement. Le Maire Sébastien Séguin a su convaincre les décideurs : « Nous avons choisi des communes symboles dans tous les arrondissements » présente Christian Poiret le Président du Département du Nord.


En fait, le 2 juillet 2024, deux flammes olympiques seront disposées à travers le Département du Nord : une sera lancée sur le parcours, l’autre sera en attente dans une autre ville : « Cela provient du même endroit, Olympie, en Grèce » explique François-Xavier Cadart, vice-Président aux Sports.


Pour Avesnes sur Helpe, le choix s’est fait naturellement : « Avesnes-sur-Helpe, c’était logique mais aussi symbolique ». Marcher, courir, à vélo, invitation des handisports : les porteurs de flamme seront « porteurs de sens ».


<<< Christian Poiret, le Président du Département du Nord :



<<< François-Xavier Cadart, son vice-président au Sport :



Dans l'Aisne, plusieurs communes ont été choisies. La date sera différente : ce sera le 17 juillet 2024 avec des passages par 



  • Guise, avec son Familistère

  • Laon et la montagne couronnée aux 70 monuments historiques classés

  • Monampteuil, sur le site départemental Axo’plage

  • Saint-Quentin, cité des pastels et de l’Art déco

  • Château-Thierry, cité poétique, ville de Jean de La Fontaine

  • Soissons, cité du vase

  • Villers-Cotterêts avec La Cité Internationale de la Langue Française.



On rappelle que 59 départements ont accepté de financer les 180 000 euros exigés par le comité d’organisation du JO pour accueillir un relais de la flamme. Ni les villes de Guise ou d’Avesnes ont déboursé une telle somme, contrairement à ce que nous avons pu lire ce week-end sur les réseaux sociaux.