Fourmies : la construction d’une nouvelle résidence sécurisée pour séniors
Publié : 18 avril 2023 à 14h49 par La rédaction
Cette résidence va sortir de terre sur une parcelle communale, au bout de l’impasse du Paradis, en lieu et place du parc de la maison « Lemaitre ». C’est la société Héraclide qui porte ce projet. Il s’agira d’une résidence indépendante et sécurisée, avec la présence d’un veilleur 24h sur 24.
Elle sera composée de 25 logements tout confort, meublés et adaptés aux personnes à mobilité réduite, des type 2 et 3 accessibles par l’extérieur, avec terrasse et balcon, une salle commune pour l’organisation d’ateliers et de moments festifs, plus un service blanchisserie.
Ces nouveaux logements seront mis en location dès l'an prochain (à partir de 970 € par mois). Ces appartements seront éligibles aux aides au logement de la CAF. Il est d'ores et déjà possible d'en réserver un et pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Internet des promoteurs : heraclide.fr !
>>> Mickaël Hiraux, le maire de Fourmies, nous en dit plus :
Notez que la maison « Lemaitre », qui est située juste à côté, ne sera pas détruite. Elle pourrait, éventuellement, devenir le nouveau lieu d’hébergement et d’accueil pour femmes et enfants victimes de violences intrafamiliales, que Mickaël Hiraux espère pouvoir ouvrir dans les 12 à 24 prochains mois à Fourmies. Lors de sa cérémonie des vœux, en janvier 2023, Mickaël Hiraux, le maire de Fourmies, avait déjà indiqué que sur proposition de Madame le Préfet déléguée à l’égalité des chances, « un lieu d’hébergement collectif permettant l’accueil de 20 à 25 femmes, avec ou sans enfants » sera prochainement créé, pour « une mise à l’abri ».
Cette « maison des femmes » devrait ainsi devenir le siège d’une structure d’écoute et d’accompagnement des victimes de violences conjugales, pilotée par plusieurs acteurs associatifs. Des études seront menées dans les prochains mois pour avancer sur ce projet sensible, qui peut d’ores et déjà compter sur le soutien de l’Etat et du département du Nord.
Par Paul Schuler