Sud-Avesnois / Thiérache : en bref pour le mardi 2 novembre 2021 :

Chez nos voisins belges, le Pass sanitaire, le « Covid Safe Ticket » est depuis hier, obligatoire pour entrer dans certains lieux publics en Flandres comme en Wallonie : il est obligatoire dans les bars et les restaurants mais pas en terrasses extérieures contrairement à la France, obligatoire dans les hôpitaux hormis les urgences, dans les maisons de repos ou encore dans les salles de sports, discothèques dès l’âge de 16 ans. Obligatoire aussi pour les événements qui rassemblent plus de 200 personnes de plus de 12 ans, en intérieur et plus de 400, en extérieur. Le Covid Safe Ticket n’est pas demandé dans les centres commerciaux ni dans les transports en commun. Pour les français qui se rendent en Belgique, le Pass sanitaire européen est disponible sur l’application Tousanticovid.

 

La hausse des prix de l’énergie et des prix à la pompe a donné du carburant aux Gilets jaunes de la Thiérache, ils ont réamorcé leur mouvement à Guise samedi après 3 ans d’absence. Dans le Val de Sambre la semaine dernière déjà à Hautmont, ils étaient une quinzaine au rond-point de la rue du Fort.

 

Avec novembre, c’est le Mois sans Tabac qui commence : vous avez envie d’arrêt de fumer ? Et si vous tentiez l’hypnose collective ? C’est ce que l’Association d’Education et de Prévention vous propose ce soir au Théâtre Jean Ferrat à Fourmies, à partir de 18h30, une séance de 2h30 ouverte à tous.

 

Un nouveau gîte à Mondrepuis en Thiérache, dans une demeure de caractère entouré d’un parc proche de La Scandibérique de l’EuroVéloRoute. Le Gîte de la Marnoise, propriété aujourd’hui de Maïté Coquelet Mercier abritait un pensionnat dans la seconde moitié du 19^ième siècle, la bâtisse a accueilli ensuite des colonies de vacances pendant 20 ans de 1958 à 1978.

 

En Thiérache, il a 16 ans, il s’appelle Cyprien Lejeune et il est l’Auteur d’un livre publié cet été, intitulé « L’Histoire du Fort d’Hirson », une fortification du système Séré de Rivières construit il y a 143 ans, il a abrité jusqu’à 1030 soldats et officiers, l’un des plus grands casernements de la région pendant la Première Guerre Mondiale. Deux ans de travail et 112 pages pour ne pas oublier l’histoire de ces hommes mais aussi l’histoire d’un fort aujourd’hui fragilisé par l’érosion et la végétation.

Ecoutez les éditions du journal de ce matin :

Par Delphine Hernu et Thibaut Paquit